L’internet, quelle incroyable invention ! On se souvient tous de cette époque où le web semblait être une toile infinie de possibilités, une véritable utopie numérique où la liberté d’expression et l’innovation fleurissaient sans entraves.
J’ai personnellement été témoin de cette explosion de créativité, de la naissance des blogs aux premiers pas des plateformes collaboratives. Mais aujourd’hui, cette vaste étendue de “liberté” révèle aussi ses zones d’ombre : la monétisation agressive, la prolifération de la désinformation et la centralisation rampante des données personnelles.
On se sent parfois pris au piège entre la commodité des géants du web et la nostalgie d’un espace plus ouvert et moins contraint. L’intégration massive de l’intelligence artificielle, si fascinante soit-elle, soulève de nouvelles questions sur la paternité du contenu et la manipulation algorithmique, transformant profondément la manière dont nous interagissons avec l’information.
D’un côté, le web ouvert continue d’être un moteur d’innovation pour les startups et les créateurs indépendants, offrant des opportunités que je n’aurais jamais cru possibles il y a dix ans.
De l’autre, les défis liés à la vie privée, à la surcharge informationnelle et à la dépendance aux plateformes dominantes sont devenus plus palpables que jamais.
Les débats autour du Web3 et de la décentralisation montrent bien à quel point nous cherchons un nouvel équilibre. Je vais vous expliquer cela précisément.
L’internet, quelle incroyable invention ! On se souvient tous de cette époque où le web semblait être une toile infinie de possibilités, une véritable utopie numérique où la liberté d’expression et l’innovation fleurissaient sans entraves.
J’ai personnellement été témoin de cette explosion de créativité, de la naissance des blogs aux premiers pas des plateformes collaboratives. Mais aujourd’hui, cette vaste étendue de “liberté” révèle aussi ses zones d’ombre : la monétisation agressive, la prolifération de la désinformation et la centralisation rampante des données personnelles.
On se sent parfois pris au piège entre la commodité des géants du web et la nostalgie d’un espace plus ouvert et moins contraint. L’intégration massive de l’intelligence artificielle, si fascinante soit-elle, soulève de nouvelles questions sur la paternité du contenu et la manipulation algorithmique, transformant profondément la manière dont nous interagissons avec l’information.
D’un côté, le web ouvert continue d’être un moteur d’innovation pour les startups et les créateurs indépendants, offrant des opportunités que je n’aurais jamais cru possibles il y a dix ans.
De l’autre, les défis liés à la vie privée, à la surcharge informationnelle et à la dépendance aux plateformes dominantes sont devenus plus palpables que jamais.
Les débats autour du Web3 et de la décentralisation montrent bien à quel point nous cherchons un nouvel équilibre. Je vais vous expliquer cela précisément.
L’illusion de la gratuité et le coût de nos données personnelles
Il est facile de tomber dans le piège de la gratuité sur le web. On nous offre des services, des applications, des réseaux sociaux, le tout sans débourser un centime.
C’est magique, n’est-ce pas ? Mais ma longue expérience en ligne m’a appris que cette “gratuité” a un prix, et ce prix, ce sont nos données. Chaque clic, chaque recherche, chaque interaction est une parcelle de nous-mêmes que nous offrons aux géants du web.
Je me souviens encore de mes débuts, quand je m’inscrivais à tout et n’importe quoi sans lire les conditions générales. Quelle inconscience ! Aujourd’hui, je suis beaucoup plus vigilante.
Le paradoxe est que ces mêmes données, une fois collectées, sont utilisées pour nous proposer des publicités ciblées, nous enfermant parfois dans des bulles de filtres qui renforcent nos opinions existantes, limitant ainsi notre ouverture d’esprit.
C’est une surveillance douce, presque imperceptible, qui façonne notre expérience en ligne sans que nous en ayons toujours conscience. Et cela me donne parfois le vertige de penser à l’ampleur de ce que ces entreprises savent sur nous.
1. Le modèle économique de la surveillance
Le modèle économique de l’attention est devenu la norme. Les plateformes ne sont pas là pour nous servir, mais pour nous monétiser. Elles vivent de la publicité, et pour que cette publicité soit efficace, elles ont besoin de nous connaître intimement.
C’est une sorte de pacte faustien où l’accès à des services pratiques se fait en échange de notre vie privée. J’ai vu des amis devenir obsédés par la publicité, se sentant constamment espionnés, et je dois avouer que moi-même, il m’arrive d’être bluffée par la pertinence parfois effrayante de certaines annonces.
C’est comme si l’algorithme lisait dans mes pensées, anticipant mes envies avant même que je ne les formule.
2. Les répercussions sur notre liberté d’expression
Au-delà de la publicité, cette collecte massive de données peut aussi avoir des répercussions sur notre liberté d’expression. Les algorithmes décident de ce qui est visible et de ce qui ne l’est pas, influençant les débats et les opinions.
Le “shadow banning” ou la suppression de contenu sont des réalités qui peuvent museler des voix, même si elles ne vont pas à l’encontre des lois. C’est un combat permanent pour les créateurs de contenu comme moi, pour s’assurer que notre message atteint notre audience sans être arbitrairement filtré ou déclassé par des systèmes que nous ne comprenons pas.
Redonner le pouvoir aux créateurs : l’espoir de la décentralisation
Face à cette centralisation, une lueur d’espoir émerge : le concept de décentralisation, souvent incarné par le Web3. L’idée est de reprendre le contrôle de nos données et de nos créations.
Plus question que quelques entreprises détiennent les clés de l’internet. Le rêve serait un internet où chaque utilisateur serait propriétaire de ses informations, de ses œuvres, et où la monétisation serait plus équitable.
J’ai toujours été fascinée par cette idée que les créateurs puissent enfin être justement rémunérés pour leur travail, sans qu’une plateforme ne prenne une part disproportionnée de leurs revenus.
C’est un changement de paradigme qui pourrait révolutionner la vie de millions d’artistes, de journalistes, de blogueurs comme moi. J’ai testé quelques plateformes basées sur la blockchain pour la publication de contenu et même si l’expérience utilisateur est encore parfois un peu rude, le potentiel est colossal.
Il faut y croire, il faut construire ensemble.
1. Les NFT et la propriété numérique
Les NFT (Non-Fungible Tokens) sont un excellent exemple de cette révolution. Ils permettent d’authentifier la propriété d’un bien numérique, qu’il s’agisse d’une œuvre d’art, d’un tweet, ou d’un article de blog.
Pour un créateur, c’est une manière inédite de monétiser son contenu et de garantir son authenticité. J’ai vu des artistes indépendants, qui luttaient il y a quelques années, se forger une véritable carrière grâce aux NFT, vendant leurs œuvres directement à leur communauté.
C’est une opportunité incroyable de court-circuiter les intermédiaires et de créer une relation directe et authentique avec son public.
2. La blockchain au service de la transparence
La technologie blockchain, sur laquelle repose une grande partie du Web3, promet une transparence et une immutabilité sans précédent. Chaque transaction, chaque information enregistrée est vérifiable par tous, et ne peut être altérée.
Cela pourrait résoudre de nombreux problèmes de confiance et de traçabilité, notamment pour le contenu en ligne. Fini les plagiats impunis ou les suppressions arbitraires de contenu.
On pourrait imaginer un internet où l’historique de chaque article, de chaque image, serait publiquement accessible et vérifiable. Quelle bouffée d’air frais pour l’intégrité de l’information !
Naviguer dans le chaos informationnel : entre fake news et vérités d’algorithmes
Le web est devenu un gigantesque océan d’informations, ce qui est à la fois une bénédiction et une malédiction. D’un côté, l’accès au savoir n’a jamais été aussi démocratisé.
De l’autre, la désinformation et les “fake news” pullulent, rendant la tâche de discerner le vrai du faux incroyablement ardue. Je me rappelle mes premières recherches sur internet, quand chaque résultat semblait être une mine d’or.
Aujourd’hui, il faut faire preuve d’une prudence extrême, vérifier les sources, croiser les informations. C’est un travail de détective constant. Les algorithmes, censés nous aider à trier, peuvent parfois nous enfermer dans des chambres d’écho, renforçant nos préjugés et nous coupant des points de vue divergents.
C’est un véritable casse-tête pour quiconque cherche une information fiable et équilibrée.
1. Le défi de la vérification des faits
La vérification des faits est devenue une compétence essentielle pour tout internaute. Des organisations comme AFP Factuel en France ou des initiatives citoyennes se sont multipliées pour lutter contre la désinformation.
Mais la rapidité avec laquelle les fausses nouvelles se propagent rend la tâche quasi impossible. C’est une course contre la montre permanente, et en tant que créatrice de contenu, je ressens une responsabilité immense à ne partager que des informations que j’ai personnellement vérifiées ou dont je suis sûre de la source.
La confiance de mon audience, c’est ce que j’ai de plus précieux.
2. Les algorithmes et la polarisation des opinions
Les algorithmes sont conçus pour maximiser notre engagement, pas pour nous informer de manière équilibrée. Ils nous montrent ce que nous sommes le plus susceptibles d’aimer ou avec quoi nous sommes le plus susceptibles d’interagir, créant ainsi des bulles de filtres.
J’ai observé ce phénomène chez mes proches et sur les réseaux sociaux. Des débats houleux, des incompréhensions, des visions du monde totalement opposées, parfois parce que les gens ne sont tout simplement pas exposés aux mêmes informations.
C’est un vrai danger pour la cohésion sociale et la capacité à dialoguer.
Monétiser sa passion sans vendre son âme : le dilemme des influenceurs
Ah, la monétisation ! C’est le Graal pour tout créateur de contenu, mais aussi son plus grand défi. Comment vivre de sa passion sans compromettre son intégrité ?
Au début, je voyais l’affiliation et les placements de produits comme des opportunités d’or. Et elles le sont, dans une certaine mesure. Mais l’équilibre est précaire.
Trop de publicités, et vous perdez votre audience. Pas assez, et vous ne pouvez pas en vivre. C’est une danse constante entre la créativité, l’engagement de la communauté et la nécessité de générer des revenus.
J’ai personnellement refusé des collaborations très lucratives parce qu’elles ne correspondaient pas à mes valeurs ou à ce que je pensais être bon pour mon public.
C’est une décision difficile, mais essentielle pour maintenir sa crédibilité.
1. Les modèles de revenus alternatifs
Heureusement, de nouveaux modèles émergent. Le financement participatif (Patreon, Tipeee en France) permet aux créateurs de recevoir un soutien direct de leur communauté, en échange de contenu exclusif ou d’un accès privilégié.
C’est une forme de monétisation qui, selon moi, renforce le lien avec l’audience et permet une plus grande liberté éditoriale. J’ai vu des créateurs incroyables survivre et prospérer grâce à ce modèle.
J’ai vu des créateurs incroyables survivre et prospérer grâce à ce modèle, et j’envisage sérieusement de développer davantage cette voie pour ma propre chaîne.
C’est l’essence même de ce que devrait être l’économie des créateurs : un soutien direct, sans intermédiaires gourmands.
2. L’importance de l’authenticité
Dans un monde où le contenu sponsorisé est partout, l’authenticité est devenue la monnaie la plus précieuse. Les gens veulent se connecter avec de vraies personnes, pas avec des panneaux publicitaires ambulants.
Mon expérience m’a montré que la transparence, même sur les partenariats, est essentielle. Expliquer pourquoi j’ai choisi de promouvoir un produit ou un service, et donner mon avis honnête, même s’il est mitigé, renforce la confiance de mon audience.
C’est cette confiance qui, au final, assure la pérennité de ma présence en ligne et de ma capacité à influencer positivement.
L’IA, ce nouveau coéquipier (ou adversaire ?) de notre créativité
L’intelligence artificielle est sans aucun doute la révolution de notre décennie. Elle est partout, et elle modifie profondément notre rapport au contenu.
En tant que créatrice, j’ai été à la fois fascinée et un peu effrayée par ce qu’elle peut faire. D’un côté, l’IA peut être un outil incroyable pour l’optimisation SEO, la génération d’idées, la transcription de vidéos.
J’ai personnellement expérimenté des outils d’IA pour m’aider dans mes recherches, pour affiner mes titres, ou même pour corriger des fautes de frappe que mon œil fatigué aurait manquées.
C’est un gain de temps considérable ! Mais d’un autre côté, elle soulève des questions fondamentales sur la créativité, l’originalité et la valeur ajoutée du travail humain.
Si l’IA peut écrire des articles complets, quel est notre rôle ?
1. L’IA comme outil d’assistance à la création
Plutôt que de la voir comme une menace, j’essaie de considérer l’IA comme un puissant assistant. Elle peut automatiser les tâches répétitives, libérer du temps pour la réflexion profonde et la véritable créativité.
Par exemple, pour les traductions de mes articles, l’IA me permet de gagner un temps fou, même si je repasse toujours derrière pour m’assurer que le ton et les nuances culturelles sont respectés.
C’est un copilote, pas un pilote automatique. Mon expérience montre que les meilleurs résultats sont obtenus quand l’humain et la machine collaborent, chacun apportant ses forces uniques.
2. Les enjeux éthiques et la paternité du contenu
Mais les questions éthiques sont nombreuses. Qui est l’auteur d’un texte généré par IA ? Comment distinguer un contenu humain d’un contenu machine ?
Et comment éviter la prolifération de contenus superficiels et génériques qui noient la vraie information ? J’ai déjà vu des blogs entièrement “générés” par IA, et le manque d’âme, d’expérience réelle, saute aux yeux.
Pour moi, la touche humaine, l’émotion, l’expérience vécue, c’est ce qui donnera toujours de la valeur à un contenu. C’est pourquoi je m’efforce de toujours infuser mes articles de mon vécu, de mes émotions, de mes anecdotes.
C’est notre rempart contre la “généricité” de l’IA. Voici un tableau récapitulatif des défis et opportunités que j’ai identifiés :
Aspects du Web Actuel | Défis et Inconvénients | Opportunités et Solutions |
---|---|---|
Centralisation des Plateformes | Perte de contrôle des données, dépendance, censure potentielle, part des revenus élevée pour les intermédiaires. | Web3, Décentralisation (Blockchain, NFT), Souveraineté des données, Nouveaux modèles de monétisation (financement participatif). |
Gestion de l’Information | Désinformation (fake news), bulles de filtres, surcharge informationnelle, difficulté à vérifier les sources. | Éducation aux médias, outils de vérification des faits, esprit critique renforcé, algorithmes transparents. |
Monétisation des Créateurs | Pression publicitaire, compromis sur l’authenticité, faible rémunération par les plateformes traditionnelles. | Abonnements, dons directs, NFT pour la propriété et la vente directe, partenariats éthiques et transparents. |
Impact de l’IA | Génération de contenu générique, questions de paternité, risque de perte de la touche humaine, surcharge de l’information. | IA comme assistant (rédaction, SEO), personnalisation de l’expérience utilisateur, automatisation des tâches répétitives, focus sur l’expérience humaine. |
Protéger notre jardin secret numérique : la souveraineté des données à l’épreuve
La question de la vie privée et de la protection de nos données est devenue primordiale. Avec le RGPD en Europe, nous avons fait un pas en avant, c’est indéniable.
Mais combien de fois ai-je cliqué sur “Accepter tout” pour les cookies, juste pour accéder à un article ? C’est une bataille quotidienne pour chacun de nous de s’assurer que nos informations personnelles ne soient pas utilisées à notre insu ou de manière abusive.
J’ai vu des cas où des fuites de données ont eu des conséquences désastreuses pour les individus, et cela me fait froid dans le dos. Mon ressenti est que, bien que des lois existent, la responsabilité ultime repose sur l’utilisateur de comprendre ce à quoi il consent.
1. Le défi de la conformité au RGPD
Le Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD) est un excellent cadre légal, mais sa mise en œuvre est complexe. Pour les petites entreprises et les créateurs indépendants comme moi, comprendre toutes les implications et s’assurer d’être en conformité est un véritable défi.
Il faut consacrer du temps et parfois des ressources financières pour se mettre à niveau. C’est une contrainte, oui, mais une contrainte nécessaire pour protéger les droits des citoyens européens.
J’ai passé des heures à décortiquer les textes pour m’assurer que mon blog respectait bien les règles, et ce n’est pas une mince affaire !
2. Les outils et pratiques pour renforcer sa vie privée
Heureusement, des outils et des pratiques existent pour reprendre un peu de contrôle. Utiliser des navigateurs axés sur la vie privée, des VPN, des gestionnaires de mots de passe, et être très sélectif sur les applications et services que l’on utilise, sont autant de gestes simples mais efficaces.
Je conseille toujours à mes abonnés de prendre le temps de revoir les paramètres de confidentialité de leurs réseaux sociaux et de leurs applications.
C’est un investissement de temps qui en vaut la peine pour protéger son “jardin secret numérique” dans un monde où tout semble public par défaut.
L’âme du web : entre communautés passionnées et bulles de filtre
Le web a toujours été, pour moi, un lieu de rencontre, de partage, et de formation de communautés. J’ai rencontré des personnes incroyables grâce à mon blog, des âmes passionnées partageant les mêmes centres d’intérêt, que je n’aurais jamais pu croiser dans la vie “réelle”.
C’est la beauté du web ouvert : briser les frontières, connecter les gens autour d’une passion commune. Cependant, l’envers du décor, ce sont les “bulles de filtre” et les “chambres d’écho” dont nous avons parlé.
Ces environnements où nos opinions sont constamment renforcées par des personnes qui pensent comme nous peuvent mener à une polarisation dangereuse et à une incapacité à dialoguer avec ceux qui ont des points de vue différents.
C’est un équilibre délicat à trouver.
1. Le pouvoir des communautés en ligne
Les communautés en ligne sont des moteurs puissants d’apprentissage, de soutien et d’innovation. Elles permettent à des individus isolés de trouver des pairs, de partager des connaissances et de se sentir appartenir à quelque chose de plus grand.
J’ai personnellement appris énormément grâce aux échanges avec ma communauté, que ce soit via les commentaires sur mon blog, les messages sur les réseaux sociaux, ou les forums spécialisés.
C’est une richesse inestimable, une véritable intelligence collective qui se met au service de tous. Ces espaces sont, pour moi, le cœur battant du web.
2. Briser les bulles et favoriser le dialogue
Le défi est de ne pas se laisser enfermer dans sa bulle. Il est crucial de s’exposer à des opinions divergentes, de chercher activement des sources d’information variées et de dialoguer avec respect, même quand on n’est pas d’accord.
Je m’efforce de diversifier mes sources d’information et d’encourager ma communauté à faire de même. C’est parfois inconfortable, c’est vrai, mais c’est le prix à payer pour une pensée critique et une compréhension plus nuancée du monde.
Car au fond, le web devrait être un lieu d’échange et non de confrontation stérile.
En guise de conclusion
Le web, mes chers amis, est bien plus qu’une simple série de pages et d’écrans ; c’est un reflet de notre société, avec ses merveilles et ses imperfections. À travers cette exploration, j’espère vous avoir montré que, malgré les défis de la centralisation, de la désinformation et de la monétisation parfois intrusive, l’espoir d’un internet plus juste et plus humain est bien réel. C’est à nous, créateurs et utilisateurs, de façonner cet avenir, d’exiger la transparence et de privilégier l’authenticité. Continuons à naviguer, mais faisons-le avec conscience et engagement, pour que le web reste cet espace de liberté et d’innovation que nous avons toujours rêvé qu’il soit.
Bon à savoir
1.
Vérifiez toujours vos sources : Face à la désinformation, prendre le temps de croiser les informations et de consulter des médias fiables est essentiel pour forger une opinion éclairée.
2.
Gérez votre vie privée : Prenez le contrôle de vos données. Lisez les politiques de confidentialité, utilisez des outils de protection (VPN, navigateurs respectueux de la vie privée) et soyez sélectif sur ce que vous partagez.
3.
Soutenez les créateurs indépendants : Si vous aimez le contenu d’un créateur, envisagez de le soutenir directement via des plateformes comme Patreon ou Tipeee. C’est un moyen concret de renforcer une économie du contenu plus juste.
4.
Utilisez l’IA comme un assistant : L’intelligence artificielle est un outil puissant, mais elle ne remplace pas l’expérience, l’émotion et le jugement humain. Servez-vous-en pour optimiser, pas pour dépersonnaliser votre contenu.
5.
Sortez de votre bulle de filtre : Cherchez activement des opinions et des sources d’information différentes de celles que les algorithmes vous proposent. Le dialogue et l’exposition à la diversité enrichissent votre pensée.
Points clés à retenir
Le web moderne est un paradoxe : il offre une liberté sans précédent tout en soulevant des questions cruciales sur la vie privée et la monétisation. La “gratuité” a un coût, celui de nos données personnelles, alimentant un modèle économique de surveillance. La désinformation prolifère, exacerbée par des algorithmes qui peuvent polariser les opinions. Cependant, l’espoir réside dans la décentralisation (Web3, NFT) qui redonne le pouvoir aux créateurs et aux utilisateurs. Pour les créateurs, l’authenticité est la clé de la monétisation durable, souvent via des modèles de soutien direct. Enfin, l’IA est un assistant précieux, mais la valeur du contenu réside toujours dans l’expérience humaine, l’émotion et la touche personnelle.
Questions Fréquemment Posées (FAQ) 📖
Q: Pourquoi cette nostalgie d’un internet “libre” et qu’est-ce qui a tellement changé pour qu’on se sente “pris au piège” aujourd’hui ?
R: Ah, la bonne vieille époque ! Je me souviens très bien de mes premiers pas sur internet, c’était vraiment l’impression d’un champ infini de possibilités, sans pub, sans algorithmes qui vous suivent à la trace, une sorte de Far West numérique où tout était à construire.
On créait des blogs pour le plaisir de partager, pas pour monétiser chaque clic. Ce qui a changé, c’est que cette utopie a rencontré la dure réalité économique.
Les plateformes sont devenues des géants avides de nos données pour la publicité ciblée, et la course au clic a malheureusement donné le champ libre à la désinformation, aux “fake news” comme on dit.
Pour l’avoir vécu, je peux vous dire qu’il y a un vrai décalage entre la promesse initiale et ce que le web est devenu : un espace où l’on est constamment sollicité, analysé, et parfois, manipulé.
On se sent piégé, oui, car on ne peut plus vraiment s’en passer, mais on regrette cette insouciance perdue, ce temps où internet était plus une bibliothèque et un lieu d’échange qu’un centre commercial géant.
Q: L’intégration massive de l’intelligence artificielle est-elle un mal nécessaire ou une véritable menace pour la création et la diffusion de l’information ?
R: C’est la question à un million ! D’un côté, l’IA est absolument fascinante, elle nous promet monts et merveilles, des outils incroyables pour la productivité, pour trier l’information pléthorique que l’on reçoit chaque jour.
J’ai été bluffé par certaines de ses capacités, je dois l’admettre, notamment pour des tâches répétitives. Mais, et c’est un grand “mais”, elle soulève des questions existentielles sur la paternité des œuvres.
Quand une machine peut écrire un texte entier, composer de la musique, ou même “créer” des images d’une personne qui n’existe pas, qui en est l’auteur ?
Et plus insidieusement, ces algorithmes, aussi intelligents soient-ils, ne manipulent-ils pas déjà ce que l’on voit, ce que l’on lit ? On se retrouve avec des bulles de filtres de plus en plus épaisses, enfermé dans nos propres préférences, et ça, c’est grave pour la diversité d’opinions et la cohésion sociale.
On veut de l’aide, pas être dirigé ou avoir notre pensée formatée sans le savoir. Il y a une fine ligne entre l’assistance et le contrôle, et avec l’IA, on tangue dangereusement.
Q: Le Web3 et la décentralisation sont-ils vraiment la solution pour retrouver un équilibre et une liberté perdue sur internet, ou est-ce juste une nouvelle utopie ?
R: C’est la grande interrogation que j’entends partout, et c’est très pertinent, surtout après avoir vu l’internet basculer de la liberté à la centralisation.
L’idée de décentralisation via le Web3 est comme une bouffée d’oxygène pour beaucoup d’entre nous, une promesse de reprendre le contrôle. Théoriquement, reprendre le contrôle de nos données, avoir des plateformes où personne ne détient les clés du royaume, c’est le rêve, non ?
On parle de technologie blockchain, de NFT, de DAOs… Pour être honnête, je suis à la fois enthousiaste et un peu prudent, car l’histoire nous a montré que les belles promesses peuvent vite se heurter à la réalité.
On a vu des initiatives géniales éclore, avec de vrais créateurs indépendants qui contournent les intermédiaires, mais aussi des spéculations folles et des escroqueries.
L’enjeu est de taille : arrivera-t-on à construire un internet plus équitable et résilient sans retomber dans les travers de la centralisation (avec de nouvelles entités dominantes) ou sans que ça devienne un Far West numérique ingérable et inaccessible au commun des mortels ?
C’est le combat de notre génération pour le futur du web, et j’espère qu’on trouvera le juste milieu, celui qui mettra l’humain et la liberté au cœur du système, mais il faudra y croire et se retrousser les manches.
📚 Références
Wikipédia Encyclopédie
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